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28 octobre 2007

Appel à illustrateurs

Bonjour !

Si vous passez par là, que vous êtes illustrateur et que mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à me contacter ! J'ai encore pas mal d'histoires en réserve... 

Princesse Charlotte et Dragounet

Une princesse capricieuse, un roi qui lui cède tout, un dragon et un coiffeur amoureux, voilà de quoi écrire un conte complètement loufoque : Princesse Charlotte et Dragounet.

En voici un extrait :

" Depuis toute petite, quand Princesse Charlotte voulait quelque chose, un petit caprice et hop ! le roi lui cédait. Alors comme d’habitude, le roi finit par répondre :
- Bon d’accord… Mais c’est la dernière fois que je cède à un de tes caprices !
Sautillant de joie, Princesse Charlotte emmena son petit Dragounet. Les deux nouveaux amis devinrent vite inséparables. Charlotte avait rapidement obtenu du roi quelques faveurs pour son dragon : il mangeait à la table royale, il accompagnait Charlotte à ses leçons d’équitation et il dormait même dans son lit ! Mais petit Dragounet ne resta pas longtemps petit. Très vite, il dépassa le roi. Puis il devint si grand qu’il fallut refaire toutes les portes du palais pour que Dragounet puisse passer. Mais surtout, comme l’avait prédit le roi, petit Dragounet commença à mettre le feu partout… Si sa soupe était trop salée, il brûlait sa serviette. S’il perdait à la corde à sauter, il brûlait tous ses jouets. Et si après avoir mangé trop de gâteaux il avait mal au ventre, c’étaient toutes les cuisines du palais qu’il réduisait en cendres ! Pourtant, Dragounet ne le faisait pas exprès : quand il était contrarié, le feu sortait tout seul de sa gueule ! Alors, plusieurs fois, le roi avait tenté de le renvoyer dans la forêt. Mais Princesse Charlotte s’y était toujours opposée.

Seulement un jour, le roi marcha sur le pied de Dragounet… Le dragon hurla et, de colère, brûla le trône du roi !
- Ah, cette fois, rien ne me fera changer d’avis : Dragounet, tu retournes dans la forêt ! "

 

Pour connaître la fin, contactez-moi !
 

Oskar, un trop gentil cauchemar

Oskar est un cauchemar très différent des autres cauchemar : il est incapable d'effrayer un enfant !! Mais il se soigne...

" C’en était trop ! Le chef des cauchemars menaça Oskar :
- Si tu ne fais par hurler de peur le prochain enfant que tu verras, tu devras quitter le monde des cauchemars !
Oskar rassembla alors tout son courage et décida de suivre des cours du soir pour apprentis cauchemars. On y apprenait les grimaces, les mauvaises manières et même un peu de magie noire. Les premiers jours se passèrent plutôt bien : Oskar changea son parfum à la fraise pour un jus de poisson pourri. Il réussit même, après plusieurs essais, à se mettre les doigts dans le nez ! Mais serait-ce suffisant pour faire peur aux enfants ? "

 

Pour pouvoir lire l'histoire dans son intégralité, contactez-moi !

Rosavel le Grand

Voic un extrait de Rosavel le Grand. Je l'aime beaucoup ce petit bateau courageux. C'est un peu mon chouchou du moment !

 " Rosavel était un petit bateau. Un tout petit bateau, qui avait de très grands rêves : il voulait traverser les mers et les océans du monde entier. Mais il était si petit, que les gros bateaux refusaient de l’emmener vers le grand large. Et quand il suppliait ses amis Zanzibar et Marmodec de les accompagner, ceux-ci lui répondaient :
- Au large, il y a des tempêtes si fortes qu’elles t’emporteraient au fond des mers.
- Au large, il y a des baleines qui d’un seul coup de queue te feraient voler dans les airs.
A les écouter, Rosavel frissonnait de peur et ses envies de large disparaissaient. Mais pas pour longtemps… "

 Pour connaître la fin, il suffit de me contacter...

Si des illustrateurs ont un coup de coeur pour ce petit bateau attachant, qu'ils me fassent signe !!

 

27 octobre 2007

Hildeberk, une sorcière amoureuse

Voici le premier chapitre du roman Hildeberk, une sorcière amoureuse. C'est un petit roman de 15 000 signes très drôle et dans lequel les apparences sont souvent bien trompeuses...

 

" Chapitre 1 : La sorcière Hildeberk

Hildeberk était une sorcière tout à fait ordinaire. Elle avait un nez crochu, des boutons gros comme des champignons, des cheveux ébouriffés et de très grands pieds. Comme toutes les sorcières, elle aimait jeter des mauvais sorts : empoisonner des pommes qu'elle donnait à de jolies jeunes filles, ou bien faire don à de petites princesses d'une voix trop aiguë ou bien d'un dos bossu. Comme beaucoup de sorcières, elle n'était pas vraiment méchante. Ses sorts pouvaient être facilement déjoués : un simple baiser réveillait une princesse endormie ou changeait un crapaud gluant en prince charmant. Hildeberk pensait que tous ses mauvais sorts rapprochaient en fait les amoureux. " C'est un peu grâce à moi, se disait-elle, si tant de princes et de princesses vivent heureux si longtemps et ont autant d'enfants. " Elle aussi aurait bien aimé connaître l'amour, mais elle ne trouvait aucun sorcier à son goût. En fait, Hildeberk n'était peut-être pas tout à fait ordinaire : elle rêvait en secret d'épouser un prince charmant ! Elle le voyait déjà grimper avec elle sur son balais, prêt à tout pour lui voler un baiser. Mais des princes sur des balais, on n'en voyait jamais dans les contes de fées…
Une nuit cependant, alors qu'elle parcourait les airs perchée sur son balais, Hildeberk aperçut le prince le plus séduisant qu'elle n'avait jamais vu. Elle voulut s'approcher, mais renonça finalement. Elle était une sorcière et lui un prince charmant…

De retour chez elle, Hildeberk feuilleta le livre de potions que lui avait légué son arrière arrière-grand-mère. Elle y trouva toutes sortes de sortilèges comme " faire avaler sa langue à une princesse trop bavarde " ou " changer une petite souris en dragon terrifiant ". Puis elle lut sur une page : " transformer la laideur en beauté ". C'était parfait ! Hildeberk, sans même lire les recommandations d'usage inscrites en petits caractères, prononça d'une voix forte :
" Pétales de roses pour fleurs de pissenlits,
Parfum de jasmin contre poisson pourri,
Qu'en beauté ma laideur, se transforme sur l'heure. "
Aussitôt, Hildeberk sentit son nez raccourcir, ses boutons disparaître, ses cheveux se lisser et ses pieds rétrécir. Elle s'approcha de son miroir : elle était devenue une princesse d'une beauté à faire tomber d'amour n'importe quel prince charmant. Elle transforma ensuite son balais en un peigne qu'elle glissa dans ses cheveux et décida de changer de nom : elle serait Hildegarde, la princesse du pays de Souillarde. "

 

Pour connaître la suite, contactez-moi

23:10 Publié dans Projets | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : projets, hildeberk |  Facebook |